LONDRES (Reuters) - Barclays et sur le point de refondre ses opérations administratives (back office) afin de se conformer à de nouvelles règles qui obligent les banques britanniques à séparer leur activité de banque de dépôt de celles qui sont plus risquées.
La banque a précisé dimanche qu'elle avait créé une nouvelle société, baptisée ServCo, qui sera prestataire de services pour ses segments banque de dépôt et banque d'investissement une fois qu'ils auront été officiellement séparés.
Ce nouveau dispositif réglementaire vise à éviter une répétition de la crise de 2008 et même si Barclays ne figure pas parmi les banques qui avaient alors nécessité une intervention de l'Etat, elle doit comme de juste s'y conformer.
Cette restructuration risque de déboucher sur des suppressions de postes, selon des sources au fait du dossier. Plus de 10.000 salariés de Barclays sont affectés au back office dans 17 pays.
Barclays s'est abstenu de tout commentaire sur le risque des pertes d'emploi ou sur le coût de la restructuration. Selon les sources, le projet absorbera l'essentiel du milliard de livres (1,2 milliard d'euros) évoqué par Barclays pour la mise en conformité avec les nouvelles règles de séparation des activités qui entreront en vigueur en 2019.
La banque a précisé dimanche qu'elle avait créé une nouvelle société, baptisée ServCo, qui sera prestataire de services pour ses segments banque de dépôt et banque d'investissement une fois qu'ils auront été officiellement séparés.
Ce nouveau dispositif réglementaire vise à éviter une répétition de la crise de 2008 et même si Barclays ne figure pas parmi les banques qui avaient alors nécessité une intervention de l'Etat, elle doit comme de juste s'y conformer.
Cette restructuration risque de déboucher sur des suppressions de postes, selon des sources au fait du dossier. Plus de 10.000 salariés de Barclays sont affectés au back office dans 17 pays.
Barclays s'est abstenu de tout commentaire sur le risque des pertes d'emploi ou sur le coût de la restructuration. Selon les sources, le projet absorbera l'essentiel du milliard de livres (1,2 milliard d'euros) évoqué par Barclays pour la mise en conformité avec les nouvelles règles de séparation des activités qui entreront en vigueur en 2019.
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