Un second vote, le 19 janvier départagera les deux candidats restants, avant un congrès le 25 à Marseille.
Ils seront trois à briguer la tête du PS en janvier, avec comme enjeu le maintien du parti dans la Nupes : le Premier secrétaire sortant Olivier Faure y est favorable, ses adversaires, le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol et la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy, plus hostiles.
A l'issue d'un conseil national, trois textes d'orientation ont été déposés et seront soumis au vote des adhérents le 12 janvier. Un second vote, le 19 janvier départagera les deux candidats restants, avant un congrès le 25 à Marseille.
Au coeur de ce 80e congrès, que tous jugent stratégique, se joue l'accord de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) entre la France insoumise, le PS, les écologistes et les communistes, qui a permis de garder un groupe de 32 députés socialistes à l'Assemblée, malgré l'échec historique à la présidentielle de la candidate Anne Hidalgo (1,7%).
Alors que le congrès précédent avait vu s'affronter Olivier Faure (72%) et Hélène Geoffroy (28%), un nouveau combattant est entré dans l'arène: Nicolas Mayer-Rossignol, le maire PS de Rouen a déposé un texte d'orientation, "Refondations".
Il est soutenu par la maire de Paris Anne Hidalgo et des proches de la présidente de la région Occitanie Carole Delga, toutes deux clairement opposées à la Nupes.
"Nous sommes la seule nouveauté, la seule voie capable de rassembler tous les socialistes", a-t-il affirmé samedi, se voulant "une nouvelle voie" entre la direction sortante et les partisans de l'ancien président François Hollande.
Nicolas Mayer-Rossignol prône "un PS non dilué dans un accord, mais moteur de la gauche", affirmant que "la Nupes ne mérite ni excès d'indignité, ni excès d'honneur.
Ce cadre politique est utile, mais il n'est pas suffisant, ni durable pour gagner". Il a défendu une "gauche humaniste, qui renforce et prolonge la construction européenne, qui ne confond pas radicalité avec l'outrance", dans un tacle à La France insoumise.
Hélène Geoffroy, soutenue par les "éléphants" du PS, comme le maire du Mans Stéphane Le Foll, a de son côté déposé son texte "Refonder, rassembler, gouverner".
Ils seront trois à briguer la tête du PS en janvier, avec comme enjeu le maintien du parti dans la Nupes : le Premier secrétaire sortant Olivier Faure y est favorable, ses adversaires, le maire de Rouen Nicolas Mayer-Rossignol et la maire de Vaulx-en-Velin Hélène Geoffroy, plus hostiles.
A l'issue d'un conseil national, trois textes d'orientation ont été déposés et seront soumis au vote des adhérents le 12 janvier. Un second vote, le 19 janvier départagera les deux candidats restants, avant un congrès le 25 à Marseille.
Au coeur de ce 80e congrès, que tous jugent stratégique, se joue l'accord de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) entre la France insoumise, le PS, les écologistes et les communistes, qui a permis de garder un groupe de 32 députés socialistes à l'Assemblée, malgré l'échec historique à la présidentielle de la candidate Anne Hidalgo (1,7%).
Alors que le congrès précédent avait vu s'affronter Olivier Faure (72%) et Hélène Geoffroy (28%), un nouveau combattant est entré dans l'arène: Nicolas Mayer-Rossignol, le maire PS de Rouen a déposé un texte d'orientation, "Refondations".
Il est soutenu par la maire de Paris Anne Hidalgo et des proches de la présidente de la région Occitanie Carole Delga, toutes deux clairement opposées à la Nupes.
"Nous sommes la seule nouveauté, la seule voie capable de rassembler tous les socialistes", a-t-il affirmé samedi, se voulant "une nouvelle voie" entre la direction sortante et les partisans de l'ancien président François Hollande.
Nicolas Mayer-Rossignol prône "un PS non dilué dans un accord, mais moteur de la gauche", affirmant que "la Nupes ne mérite ni excès d'indignité, ni excès d'honneur.
Ce cadre politique est utile, mais il n'est pas suffisant, ni durable pour gagner". Il a défendu une "gauche humaniste, qui renforce et prolonge la construction européenne, qui ne confond pas radicalité avec l'outrance", dans un tacle à La France insoumise.
Hélène Geoffroy, soutenue par les "éléphants" du PS, comme le maire du Mans Stéphane Le Foll, a de son côté déposé son texte "Refonder, rassembler, gouverner".