Chaque année, l’avancée technologique connait des bonds considérables et permet aux millions d’utilisateurs à travers le monde de découvrir de nouvelles sensations fortes. C’est le cas avec ‘’Google street view’’ qui est une application permettant aux internautes une vue panoramique de 360° en horizontal et 290° en vertical en photo des rues à travers toutes les villes du monde.
Avec ses nombreuses possibilités, elle donne l’occasion aux particuliers de pouvoir effectuer une visite virtuelle de nombreux sites touristiques dans le monde, préparer un itinéraire avec un zoom ultime, à savoir les photos des lieux que vous aller traverser, rechercher des parkings et vérifier l'accès pour les personnes à mobilité réduite et étudier une location de vacances avant de s’y rendre.
Pour les professionnels, il s’agit de montrer à leurs clients potentiels à quoi ressemble votre boutique ou encore vos bureaux. Ce n’est pas tout puisque qu’avec ‘’Google street view’’, l’on peut avoir une vue complète de sites culturels, historiques ou même visiter des villes comme Touba et sa mosquée, Médina Baye, les alentours du pont de Faidherbe, le parc zoologique de Hann ou même se permettre une visite guidée dans la maison des esclaves.
En somme, cette application fournit des images comme si vous étiez sur les lieux. «En vérité, on découvre de belles images comme si nous y étions», a dit Seydina Diop, responsables des relations institutionnelles en Afrique francophone de Google. Poursuivant, il ajoute : «Cela permet de mieux vendre l’image d’un pays comme le Sénégal et peut réellement participer à développer plusieurs activités comme celles relatives au tourisme.»
En effet, le Sénégal est le premier pays en Afrique francophone à expérimenter cette application révolutionnaire dont le lancement est intervenu aux États-Unis dans le courant de l’année 2007. «En Afrique francophone, nous sommes le premier pays à expérimenter ‘’Google street view’’. Donc, notre pays peut y gagner considérablement car, toute personne ne peut d’abord voir le site sur l’application avant de s’y déplacer.
C’est par exemple le cas pour la maison des esclaves de Gorée et de tous les autres lieux et édifices publics que nous photographiés. Ce qui peut augmenter le nombre de visites surtout en ce qui concerne les touristes», a fait savoir M. Diop.
Seulement, il a tenu à préciser lors de la cérémonie de lancement tenue vendredi, que «la collecte des informations ainsi que la vie privée des gens, sont prises en compte dans le respect des recommandations de la Commission de données personnelles (Cdp).» A ce propos, il fait remarquer que «les visages des personnes et les plaques d’immatriculation des véhicules sont floutés surtout que les images ne sont pas diffusées à temps réel, le temps d’être stockées et analysées.»
Il faut rappeler qu’il est possible de tourner dans tous les sens, se retourner, regarder vers le bas ou vers le haut, et bien entendu de se déplacer, tout en regardant la ville par le biais des photographies. De quoi faire dire à Rémy Sagna, directeur de cabinet du ministre de la culture et de la communication, que «les technologies de l’information de la communication sont un enjeu incontournable et offrent à la culture une plus-value en participant également au rayonnement culturel et touristique du pays.» (Abdoulaye Mbow)
Avec ses nombreuses possibilités, elle donne l’occasion aux particuliers de pouvoir effectuer une visite virtuelle de nombreux sites touristiques dans le monde, préparer un itinéraire avec un zoom ultime, à savoir les photos des lieux que vous aller traverser, rechercher des parkings et vérifier l'accès pour les personnes à mobilité réduite et étudier une location de vacances avant de s’y rendre.
Pour les professionnels, il s’agit de montrer à leurs clients potentiels à quoi ressemble votre boutique ou encore vos bureaux. Ce n’est pas tout puisque qu’avec ‘’Google street view’’, l’on peut avoir une vue complète de sites culturels, historiques ou même visiter des villes comme Touba et sa mosquée, Médina Baye, les alentours du pont de Faidherbe, le parc zoologique de Hann ou même se permettre une visite guidée dans la maison des esclaves.
En somme, cette application fournit des images comme si vous étiez sur les lieux. «En vérité, on découvre de belles images comme si nous y étions», a dit Seydina Diop, responsables des relations institutionnelles en Afrique francophone de Google. Poursuivant, il ajoute : «Cela permet de mieux vendre l’image d’un pays comme le Sénégal et peut réellement participer à développer plusieurs activités comme celles relatives au tourisme.»
En effet, le Sénégal est le premier pays en Afrique francophone à expérimenter cette application révolutionnaire dont le lancement est intervenu aux États-Unis dans le courant de l’année 2007. «En Afrique francophone, nous sommes le premier pays à expérimenter ‘’Google street view’’. Donc, notre pays peut y gagner considérablement car, toute personne ne peut d’abord voir le site sur l’application avant de s’y déplacer.
C’est par exemple le cas pour la maison des esclaves de Gorée et de tous les autres lieux et édifices publics que nous photographiés. Ce qui peut augmenter le nombre de visites surtout en ce qui concerne les touristes», a fait savoir M. Diop.
Seulement, il a tenu à préciser lors de la cérémonie de lancement tenue vendredi, que «la collecte des informations ainsi que la vie privée des gens, sont prises en compte dans le respect des recommandations de la Commission de données personnelles (Cdp).» A ce propos, il fait remarquer que «les visages des personnes et les plaques d’immatriculation des véhicules sont floutés surtout que les images ne sont pas diffusées à temps réel, le temps d’être stockées et analysées.»
Il faut rappeler qu’il est possible de tourner dans tous les sens, se retourner, regarder vers le bas ou vers le haut, et bien entendu de se déplacer, tout en regardant la ville par le biais des photographies. De quoi faire dire à Rémy Sagna, directeur de cabinet du ministre de la culture et de la communication, que «les technologies de l’information de la communication sont un enjeu incontournable et offrent à la culture une plus-value en participant également au rayonnement culturel et touristique du pays.» (Abdoulaye Mbow)