C'est un alunisseur, posé sur quatre jambes, avec un pont supérieur où pourront être fixés des équipements et un grand réservoir sphérique de carburant... Voici Blue Moon, signé Jeff Bezos.
Le patron d'Amazon et de la société spatiale Blue Origin s'est lancé dans la nouvelle conquête de la Lune.
L'alunisseur est développé depuis trois ans et il pourra emmener des instruments scientifiques, quatre petits rovers, mais aussi un futur véhicule pressurisé pour humains, selon Jeff Bezos qui affirme qu'il est grand temps de retourner sur la Lune et d'y rester...
Il ne pourra pas lui-même embarquer des astronautes, mais serait suffisamment grand pour accueillir sur son pont un véhicule "d'ascension", c'est-à-dire un petit vaisseau, construit par d'autres, permettant aux astronautes de remonter de la surface vers une station en orbite.
Le but est d'atterrir au pôle sud de la Lune, où se trouve de l'eau glacée. L'eau peut être exploitée pour produire de l'hydrogène, qui servirait ensuite de carburant pour explorer le système solaire.
Fin mars, l'objectif du premier alunissage a été fixé pour 2024 par le gouvernement de Donald Trump, et Blue Origin devrait tenir ce délai.
Depuis cette annonce il y a un mois et demi, la Nasa est plongée dans une frénésie d'activité car cette mission de retour sur la Lune était initialement prévue pour 2028.
Blue Origin, compagnie spatiale de 2 000 salariés financée par le milliardaire depuis sa création en 2000, est donc ainsi officiellement entrée en compétition avec des sociétés établies, comme SpaceX, qui rivalisent pour décrocher des contrats avec la Nasa pour permettre le retour d'astronautes sur la Lune dans cinq ans. (Euronews)
Le patron d'Amazon et de la société spatiale Blue Origin s'est lancé dans la nouvelle conquête de la Lune.
L'alunisseur est développé depuis trois ans et il pourra emmener des instruments scientifiques, quatre petits rovers, mais aussi un futur véhicule pressurisé pour humains, selon Jeff Bezos qui affirme qu'il est grand temps de retourner sur la Lune et d'y rester...
Il ne pourra pas lui-même embarquer des astronautes, mais serait suffisamment grand pour accueillir sur son pont un véhicule "d'ascension", c'est-à-dire un petit vaisseau, construit par d'autres, permettant aux astronautes de remonter de la surface vers une station en orbite.
Le but est d'atterrir au pôle sud de la Lune, où se trouve de l'eau glacée. L'eau peut être exploitée pour produire de l'hydrogène, qui servirait ensuite de carburant pour explorer le système solaire.
Fin mars, l'objectif du premier alunissage a été fixé pour 2024 par le gouvernement de Donald Trump, et Blue Origin devrait tenir ce délai.
Depuis cette annonce il y a un mois et demi, la Nasa est plongée dans une frénésie d'activité car cette mission de retour sur la Lune était initialement prévue pour 2028.
Blue Origin, compagnie spatiale de 2 000 salariés financée par le milliardaire depuis sa création en 2000, est donc ainsi officiellement entrée en compétition avec des sociétés établies, comme SpaceX, qui rivalisent pour décrocher des contrats avec la Nasa pour permettre le retour d'astronautes sur la Lune dans cinq ans. (Euronews)