Londres (awp/afp) - Les cours du pétrole hésitaient jeudi en fin d'échanges européens après les données sur les réserves des Etats-Unis et des commentaires saoudiens sur l'accord de limitation de la production.
Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 58,54 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 10 cents par rapport à la clôture de mercredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 19 cents à 52,37 dollars.
Les cours remontaient sans atteindre les plus hauts depuis un mois atteints dans les derniers jours.
"Les prix du Brent restent soutenus, notamment par les efforts saoudiens pour mettre un terme à l'engorgement des marchés mondiaux", a commenté Sam Sinclair, analyste chez Inenco.
Le premier exportateur mondial s'est allié à un autre poids lourd du pétrole, la Russie, pour parvenir à un accord de limitation de la production qui lie des producteurs, dont ceux de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour rééquilibrer le marché et faire remonter les prix.
Dernier effort en date, le prince saoudien a affirmé jeudi qu'il soutenait l'idée d'un renouvellement de l'effort au-delà de mars 2018.
"Oui, bien sûr", a répondu le prince Mohammed ben Salmane lorsqu'on lui a demandé, lors d'une interview mercredi à Bloomberg News, si l'Arabie saoudite soutenait la reconduction de cet accord.
"Ce n'est pas la première fois que l'Arabie saoudite s'exprime sur le sujet. La réunion de l'Opep se tiendra le mois prochain, donc les Saoudiens veulent être sûrs que leur position est claire en amont", a expliqué David Madden, analyste chez CMC Markets.
Par ailleurs, les analystes digéraient les données publiées mercredi par le Département américain de l'Energie (DoE) sur les réserves des Etats-Unis, montrant que les stocks de brut ont légèrement augmenté tandis que ceux d'essence ont fortement reculé la semaine dernière.
"La hausse des réserves de brut est due à une hausse de la production comme des importations. Les plateformes en mer ont repris leur activité après le passage de la tempête Nate", ont commenté les analystes de Société Générale.
Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 58,54 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 10 cents par rapport à la clôture de mercredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour la même échéance gagnait 19 cents à 52,37 dollars.
Les cours remontaient sans atteindre les plus hauts depuis un mois atteints dans les derniers jours.
"Les prix du Brent restent soutenus, notamment par les efforts saoudiens pour mettre un terme à l'engorgement des marchés mondiaux", a commenté Sam Sinclair, analyste chez Inenco.
Le premier exportateur mondial s'est allié à un autre poids lourd du pétrole, la Russie, pour parvenir à un accord de limitation de la production qui lie des producteurs, dont ceux de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour rééquilibrer le marché et faire remonter les prix.
Dernier effort en date, le prince saoudien a affirmé jeudi qu'il soutenait l'idée d'un renouvellement de l'effort au-delà de mars 2018.
"Oui, bien sûr", a répondu le prince Mohammed ben Salmane lorsqu'on lui a demandé, lors d'une interview mercredi à Bloomberg News, si l'Arabie saoudite soutenait la reconduction de cet accord.
"Ce n'est pas la première fois que l'Arabie saoudite s'exprime sur le sujet. La réunion de l'Opep se tiendra le mois prochain, donc les Saoudiens veulent être sûrs que leur position est claire en amont", a expliqué David Madden, analyste chez CMC Markets.
Par ailleurs, les analystes digéraient les données publiées mercredi par le Département américain de l'Energie (DoE) sur les réserves des Etats-Unis, montrant que les stocks de brut ont légèrement augmenté tandis que ceux d'essence ont fortement reculé la semaine dernière.
"La hausse des réserves de brut est due à une hausse de la production comme des importations. Les plateformes en mer ont repris leur activité après le passage de la tempête Nate", ont commenté les analystes de Société Générale.