Washington - La Maison Blanche a estimé lundi que le maintien au pouvoir du président chinois Xi Jinping au-delà de deux mandats relevait de la politique intérieure de Pékin.
"Je pense que c'est une décision qui appartient à la Chine", a déclaré Sarah Sanders, porte-parole de l'exécutif américain.
"Le président (Trump) a parlé de limite des mandats, c'est une chose à laquelle il est favorable aux Etats-Unis, mais cette décision appartient à la Chine", a-t-elle ajouté, dans une brève et prudente réaction.
Le Parti communiste chinois (PCC) a fait savoir dimanche qu'il entendait lever la limite de deux mandats présidentiels dans la constitution, ouvrant la voie à une présidence illimitée de Xi Jinping, qui dirige la Chine d'une main de fer depuis plus de cinq ans.
Donald Trump, qui s'est rendu à Pékin en novembre, met régulièrement en avant une bonne alchimie avec son homologue chinois.
Evoquant le dossier nord-coréen, il a ainsi estimé lundi que Pékin avait fait preuve d'une fermeté sans précédent en raison de sa "très bonne relation" avec le dirigeant chinois.
"Ma relation personnelle avec le président Xi est assez extraordinaire. C'est quelqu'un que j'aime bien. Je crois qu'il m'aime bien", avait-il assuré vendredi.
"Je pense que c'est une décision qui appartient à la Chine", a déclaré Sarah Sanders, porte-parole de l'exécutif américain.
"Le président (Trump) a parlé de limite des mandats, c'est une chose à laquelle il est favorable aux Etats-Unis, mais cette décision appartient à la Chine", a-t-elle ajouté, dans une brève et prudente réaction.
Le Parti communiste chinois (PCC) a fait savoir dimanche qu'il entendait lever la limite de deux mandats présidentiels dans la constitution, ouvrant la voie à une présidence illimitée de Xi Jinping, qui dirige la Chine d'une main de fer depuis plus de cinq ans.
Donald Trump, qui s'est rendu à Pékin en novembre, met régulièrement en avant une bonne alchimie avec son homologue chinois.
Evoquant le dossier nord-coréen, il a ainsi estimé lundi que Pékin avait fait preuve d'une fermeté sans précédent en raison de sa "très bonne relation" avec le dirigeant chinois.
"Ma relation personnelle avec le président Xi est assez extraordinaire. C'est quelqu'un que j'aime bien. Je crois qu'il m'aime bien", avait-il assuré vendredi.
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