Depuis quelques jours, un vent puissant s'abat sur le nord et le nord-est du pays. Selon les météorologues, la situation va continuer au moins jusqu'au début du mois de juin.
Cette semaine, les rayons du soleil ont réchauffé la France entière.
Une hausse des températures qui annonce un été brûlant, mais qui a de quoi réjouir après un début de printemps peu clément. Seulement, le vent s’est également invité à la fête, indique Ouest France, et de manière remarquée. Il s’agit principalement du vent de nord-est, qui souffle jusqu’à 60 km/h sur le littoral, précise le quotidien.
Ce vent puissant serait dû à une haute pression sur les îles Britanniques, combinée à une dépression sur la méditerranée, précise le quotidien régional. "La situation est donc bloquée depuis quelques jours. On a un vent qu’on qualifie de moyen-fort au global", explique le climatologue Franck Baraer à Ouest France.
Une situation prolongée jusqu'à début juin
Selon cet expert de Météo-France, la situation est partie pour durer : "On est parti pour deux ou trois semaines au total : cela fait déjà une bonne semaine, donc encore une semaine ou deux, ce qui nous emmène jusqu’à début juin."
Franck Baraer explique par ailleurs qu’il s’agit là d’une situation "plutôt classique" pour la période. Une bonne chose même, précise-t-il, en ce qui concerne "la production d’énergies renouvelables", conclut Ouest France.
Cette semaine, les rayons du soleil ont réchauffé la France entière.
Une hausse des températures qui annonce un été brûlant, mais qui a de quoi réjouir après un début de printemps peu clément. Seulement, le vent s’est également invité à la fête, indique Ouest France, et de manière remarquée. Il s’agit principalement du vent de nord-est, qui souffle jusqu’à 60 km/h sur le littoral, précise le quotidien.
Ce vent puissant serait dû à une haute pression sur les îles Britanniques, combinée à une dépression sur la méditerranée, précise le quotidien régional. "La situation est donc bloquée depuis quelques jours. On a un vent qu’on qualifie de moyen-fort au global", explique le climatologue Franck Baraer à Ouest France.
Une situation prolongée jusqu'à début juin
Selon cet expert de Météo-France, la situation est partie pour durer : "On est parti pour deux ou trois semaines au total : cela fait déjà une bonne semaine, donc encore une semaine ou deux, ce qui nous emmène jusqu’à début juin."
Franck Baraer explique par ailleurs qu’il s’agit là d’une situation "plutôt classique" pour la période. Une bonne chose même, précise-t-il, en ce qui concerne "la production d’énergies renouvelables", conclut Ouest France.