On se souvient qu'en août 2017, le fondateur de l’ONG Urgences panafricanistes avait été expulsé du Sénégal où il s'était installé pour avoir brûlé un billet de 5.000 francs CFA en signe de protestation contre cette monnaie coloniale françafricaine.
Sans attendre le jugement demandé par la BECEAO et le gouvernement du Sénégal, le "sous préfet" de l'impérialisme français qu'est le Président Macky Sall avait manu militari expulsé Kemi Seba malgré les protestations et manifestations des mouvements citoyens et démocratiques du Sénégal.
Le jugement en appel de la plainte devant se tenir à Dakar, Kemi Seba, est donc venu répondre au juge.
Mais une fois arrivé à l'aéroport, ce ressortissant Béninois, dont le pays est comme le Sénégal membre de la CEDEAO, a été à nouveau expulsé de Dakar, capital du Sénégal, le 23 février vers la Belgique, après 30 heures de rétention administrative.
Le mirage de la "vitrine démocratique du pré-carré" de l'impérialisme est de plus en plus sérieusement écorchée par un régime libéral néocolonial dont le sport favori est de réprimer les distributions de tracts, d'interdire le droit constitutionnel de manifester et d'emprisonner sans aucune base légale les militants critiques de la mal-gouvernance faite de corruption, de promesses électorales non tenues, de surfacturations des contrats léonins payés par les contribuables, de clientélisme politique clanique.
Le symbole décrié par des manifestations de plus en plus nombreuses de ce flagrant abus de pouvoir illégal présidentiel au Sénégal est la détention arbitraire de l'otage Guy Marius.
La servitude volontaire de Macky Sall consiste à exécuter les désirs et volontés de son maître le président français E. Macron qui a fait injonction aux présidents de la zone monétaire coloniale CFA de faire taire ce qu'il a appelé mensongèrement "le sentiment anti-français".
Le Collectif Afrique exige :
- Justice en présence de Kemi Seba au Sénégal
- Libérez Guy Marius de la prison de haute sécurité du camp pénal du Sénégal
Février 2020
Le Collectif Afrique
Sans attendre le jugement demandé par la BECEAO et le gouvernement du Sénégal, le "sous préfet" de l'impérialisme français qu'est le Président Macky Sall avait manu militari expulsé Kemi Seba malgré les protestations et manifestations des mouvements citoyens et démocratiques du Sénégal.
Le jugement en appel de la plainte devant se tenir à Dakar, Kemi Seba, est donc venu répondre au juge.
Mais une fois arrivé à l'aéroport, ce ressortissant Béninois, dont le pays est comme le Sénégal membre de la CEDEAO, a été à nouveau expulsé de Dakar, capital du Sénégal, le 23 février vers la Belgique, après 30 heures de rétention administrative.
Le mirage de la "vitrine démocratique du pré-carré" de l'impérialisme est de plus en plus sérieusement écorchée par un régime libéral néocolonial dont le sport favori est de réprimer les distributions de tracts, d'interdire le droit constitutionnel de manifester et d'emprisonner sans aucune base légale les militants critiques de la mal-gouvernance faite de corruption, de promesses électorales non tenues, de surfacturations des contrats léonins payés par les contribuables, de clientélisme politique clanique.
Le symbole décrié par des manifestations de plus en plus nombreuses de ce flagrant abus de pouvoir illégal présidentiel au Sénégal est la détention arbitraire de l'otage Guy Marius.
La servitude volontaire de Macky Sall consiste à exécuter les désirs et volontés de son maître le président français E. Macron qui a fait injonction aux présidents de la zone monétaire coloniale CFA de faire taire ce qu'il a appelé mensongèrement "le sentiment anti-français".
Le Collectif Afrique exige :
- Justice en présence de Kemi Seba au Sénégal
- Libérez Guy Marius de la prison de haute sécurité du camp pénal du Sénégal
Février 2020
Le Collectif Afrique
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FRANCE
