Selon des chercheurs américains, les acteurs politiques ont la mainmise sur les institutions impliquées dans la gestion du processus électoral. A un peu plus d'un an des prochaines élections en République démocratique du Congo, des chercheurs s'inquiètent d'un « processus mal embarqué » et d'un « déficit de confiance » porteurs, selon eux, de risques de « violentes protestations ».
« La RDC risque de rater l'opportunité de remettre son processus électoral en ordre », écrivent les organisations Groupe d'étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, liées à l'Université de New York (NYU), dans un rapport intitulé « Élections à l'ère de Tshisekedi - Un mauvais départ? », publié mardi.
Ancien opposant, Félix Tshisekedi a succédé en janvier 2019 à Joseph Kabila à la tête de l’État, à l'issue d'une présidentielle controversée, en décembre 2018, lors de laquelle la Commission électorale nationale indépendante (Céni) avait été accusée d'avoir truqué les résultats. La prochaine présidentielle est supposée se tenir fin 2023 et M. Tshisekedi a déjà exprimé son intention de se représenter. (VOA/AFP)
« La RDC risque de rater l'opportunité de remettre son processus électoral en ordre », écrivent les organisations Groupe d'étude sur le Congo (GEC) et Ebuteli, liées à l'Université de New York (NYU), dans un rapport intitulé « Élections à l'ère de Tshisekedi - Un mauvais départ? », publié mardi.
Ancien opposant, Félix Tshisekedi a succédé en janvier 2019 à Joseph Kabila à la tête de l’État, à l'issue d'une présidentielle controversée, en décembre 2018, lors de laquelle la Commission électorale nationale indépendante (Céni) avait été accusée d'avoir truqué les résultats. La prochaine présidentielle est supposée se tenir fin 2023 et M. Tshisekedi a déjà exprimé son intention de se représenter. (VOA/AFP)