Depuis le déclenchement de l'affaire Quatennens en septembre 2022, le sujet a cristallisé les tensions, notamment après le soutien controversé de Jean-Luc Mélenchon.
Malgré la condamnation d'Adrien Quatennens pour violences contre son ex-compagne, Jean-Luc Mélenchon continue de lui apporter son soutien. Il suggère même que celui qui a longtemps été vu comme son successeur naturel pourrait à l'avenir reprendre le flambeau d'une candidature à la présidentielle. Dans une interview auprès de 20 Minutes, repérée par BFMTV, le leader de La France insoumise assure ainsi que le député du Nord "reviendra dans la course un jour ou l'autre".
François Ruffin, autre candidat LFI putatif, "est aussi parfois un peu à distance du programme pourtant signé ensemble", nuance Jean-Luc Mélenchon, qui avait pourtant semblé l'adouber, avant une sortie polémique sur les droits LGBTQI+ début mai.
"Le mouvement insoumis est riche de personnalités de haut niveau. Je suis certain que ma mise en retrait de l’Assemblée favorise cette émergence", se réjouit-il.
Pour rappel, Adrien Quatennens avait été radié pour quatre mois après sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il a ensuite été réintégré à son groupe à l'Assemblée en avril, une décision qui a été jugée "inacceptable" par de nombreux alliés au sein de la Nupes, dont la députée LFI Clémentine Autain.
"Je pense toujours que quatre mois, c'est très court, trop court pour qu'Adrien Quatennens puisse faire le chemin qui conduit des faits de violences conjugales pour lesquels il a été condamné, à la réintégration dans un groupe qui porte des valeurs féministes", avait-elle déclaré à la presse.
"Maintenant, il y a eu une décision" avec un vote des députés LFI en faveur de sa réintégration, "dans des conditions démocratiques", et "je me dois de la respecter", avait poursuivi l'élue de Seine-Saint-Denis.
Depuis le déclenchement de l'affaire en septembre 2022, le sujet a cristallisé les tensions, notamment après des tweets de soutien controversés de Jean-Luc Mélenchon. En février dernier, l'ancien candidat LFI à la présidentielle avait estimé qu'Adrien Quatennens "avait été assez puni".
"Toute personne condamnée a le droit d'être réhabilitée. Tout le monde a ce droit. Il n'a pas été condamné à l'inéligibilité. Il a le droit d'exercer son mandat de député", avait justifié Jean-Luc Mélenchon.
Malgré la condamnation d'Adrien Quatennens pour violences contre son ex-compagne, Jean-Luc Mélenchon continue de lui apporter son soutien. Il suggère même que celui qui a longtemps été vu comme son successeur naturel pourrait à l'avenir reprendre le flambeau d'une candidature à la présidentielle. Dans une interview auprès de 20 Minutes, repérée par BFMTV, le leader de La France insoumise assure ainsi que le député du Nord "reviendra dans la course un jour ou l'autre".
François Ruffin, autre candidat LFI putatif, "est aussi parfois un peu à distance du programme pourtant signé ensemble", nuance Jean-Luc Mélenchon, qui avait pourtant semblé l'adouber, avant une sortie polémique sur les droits LGBTQI+ début mai.
"Le mouvement insoumis est riche de personnalités de haut niveau. Je suis certain que ma mise en retrait de l’Assemblée favorise cette émergence", se réjouit-il.
Pour rappel, Adrien Quatennens avait été radié pour quatre mois après sa condamnation à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il a ensuite été réintégré à son groupe à l'Assemblée en avril, une décision qui a été jugée "inacceptable" par de nombreux alliés au sein de la Nupes, dont la députée LFI Clémentine Autain.
"Je pense toujours que quatre mois, c'est très court, trop court pour qu'Adrien Quatennens puisse faire le chemin qui conduit des faits de violences conjugales pour lesquels il a été condamné, à la réintégration dans un groupe qui porte des valeurs féministes", avait-elle déclaré à la presse.
"Maintenant, il y a eu une décision" avec un vote des députés LFI en faveur de sa réintégration, "dans des conditions démocratiques", et "je me dois de la respecter", avait poursuivi l'élue de Seine-Saint-Denis.
Depuis le déclenchement de l'affaire en septembre 2022, le sujet a cristallisé les tensions, notamment après des tweets de soutien controversés de Jean-Luc Mélenchon. En février dernier, l'ancien candidat LFI à la présidentielle avait estimé qu'Adrien Quatennens "avait été assez puni".
"Toute personne condamnée a le droit d'être réhabilitée. Tout le monde a ce droit. Il n'a pas été condamné à l'inéligibilité. Il a le droit d'exercer son mandat de député", avait justifié Jean-Luc Mélenchon.