«Bienvenue à vous, chers survivants de l'Apocalypse ! Chers coronistes magnifiques...» Il est 22 h 30, mardi 21 avril, quand Abdallah Benadouda lance la diffusion de Radio Corona international (RCI).
Le chroniqueur Fayçal Sahbi clôt, lui, la douzième nuit de RCI à la première heure du jour d'après : «La liberté, belle et rebelle comme un pangolin.» Ainsi va la «radio de la fin du monde», comme elle aime à se surnommer, qui rassemble aujourd'hui des milliers d'auditeurs, un nombre en hausse chaque semaine.
«Avec le confinement, la répression et la censure qui frappe les médias indépendants du pays, Radio Corona, c'est un peu notre rayon de soleil», jure un couple d'Algérois. (Le Monde)
Le chroniqueur Fayçal Sahbi clôt, lui, la douzième nuit de RCI à la première heure du jour d'après : «La liberté, belle et rebelle comme un pangolin.» Ainsi va la «radio de la fin du monde», comme elle aime à se surnommer, qui rassemble aujourd'hui des milliers d'auditeurs, un nombre en hausse chaque semaine.
«Avec le confinement, la répression et la censure qui frappe les médias indépendants du pays, Radio Corona, c'est un peu notre rayon de soleil», jure un couple d'Algérois. (Le Monde)