La direction de la communication institutionnelle et des relations extérieures de Sonatel a organisé hier un échange avec la presse, dans l’optique de faire découvrir, de l’intérieur, l’organisation de Sonatel, ses plateformes, produits et services. Cette rencontre, dénommée « Pencum Sonatel », a entre autres permis de faire le point sur l’accessibilité de l’internet au Sénégal. Et de dégager des perspectives heureuses pour les usagers, si l’on se fie aux indications stratégiques dégagées par le directeur général Sékou Dramé et ses collaborateurs.
« Baisse des tarifs »
Se réjouissant d’avoir tenu l’engagement de baisser de moitié les tarifs de l’internet mobile fourni par Orange, Sonatel est dans la dynamique de faire mieux à court terme. Dans le cadre de l’acte 4 de la révolution numérique qui sera incessamment mis en œuvre.
« Sur les accès au niveau de l’internet fixe, notamment la fibre optique, l’adsl… nous avions travaillé dans le cadre de la révolution numérique sur plusieurs axes. Récemment on a réuni un comité pour dire qu’il faut que l’on accélére la démocratisation de l’internet fixe. Il y a un potentiel, il y a une classe moyenne qui est là, il faut que l’on fasse des efforts au niveau des prix. Et on prévu de faire un acte 4 de cette révolution numérique qui va constituer encore à faire des efforts sur le prix de l’internet. Il y a de très belles surprises qui nous attendent très bientôt, dans les mois avenirs, en termes d’efforts sur l’accès internet fixe » annonce la direction marketing.
« Le Sénégal dans le top 5 africain »
Par ailleurs, Sonatel se réjouit de la qualité des services proposés au Sénégal, en vue de la démocratisation du web. L’opérateur téléphonique indique, à ce propos, que le pays de la Teranga fait partie des pays d’Afrique ou l’internet est le plus accessible.
« Récemment nous avons fait une étude pour voir comment nous sommes positionnés sur le continent en termes de prix. On a pu constater que le Sénégal est dans le top 4 des pays où l’internet est le plus accessible. C’est une belle satisfaction par rapport aux politiques que nous avons menées sur la révolution numérique.
La baisse des tarifs est encore possible sur les données mobiles mais il faut composer avec le modèle économique et certaines réalités. Des freins qui nous empêchent d’accélérer un peu plus les baisses. Si je questionne les redevances des fréquences qui sont excessivement chères pour les opérateurs et qui est un des freins qui font qu’il est difficile d’accélérer cette baisse du prix de l’internet sur les mobiles, notamment sur la 4G », ajoute la même source.
Mohamed NDJIM
« Baisse des tarifs »
Se réjouissant d’avoir tenu l’engagement de baisser de moitié les tarifs de l’internet mobile fourni par Orange, Sonatel est dans la dynamique de faire mieux à court terme. Dans le cadre de l’acte 4 de la révolution numérique qui sera incessamment mis en œuvre.
« Sur les accès au niveau de l’internet fixe, notamment la fibre optique, l’adsl… nous avions travaillé dans le cadre de la révolution numérique sur plusieurs axes. Récemment on a réuni un comité pour dire qu’il faut que l’on accélére la démocratisation de l’internet fixe. Il y a un potentiel, il y a une classe moyenne qui est là, il faut que l’on fasse des efforts au niveau des prix. Et on prévu de faire un acte 4 de cette révolution numérique qui va constituer encore à faire des efforts sur le prix de l’internet. Il y a de très belles surprises qui nous attendent très bientôt, dans les mois avenirs, en termes d’efforts sur l’accès internet fixe » annonce la direction marketing.
« Le Sénégal dans le top 5 africain »
Par ailleurs, Sonatel se réjouit de la qualité des services proposés au Sénégal, en vue de la démocratisation du web. L’opérateur téléphonique indique, à ce propos, que le pays de la Teranga fait partie des pays d’Afrique ou l’internet est le plus accessible.
« Récemment nous avons fait une étude pour voir comment nous sommes positionnés sur le continent en termes de prix. On a pu constater que le Sénégal est dans le top 4 des pays où l’internet est le plus accessible. C’est une belle satisfaction par rapport aux politiques que nous avons menées sur la révolution numérique.
La baisse des tarifs est encore possible sur les données mobiles mais il faut composer avec le modèle économique et certaines réalités. Des freins qui nous empêchent d’accélérer un peu plus les baisses. Si je questionne les redevances des fréquences qui sont excessivement chères pour les opérateurs et qui est un des freins qui font qu’il est difficile d’accélérer cette baisse du prix de l’internet sur les mobiles, notamment sur la 4G », ajoute la même source.
Mohamed NDJIM