NEW YORK (Reuters) - JPMorgan Chase, Microsoft, Intel et plus d'une vingtaine d'autres sociétés se sont regroupées pour élaborer des normes et des technologies destinées à faciliter l'usage du code "blockchain" Ethereum.
L'initiative Enterprise Ethereum Alliance (EEA) doit être annoncé mardi, ont fait savoir les sociétés fondatrices lundi.
Ce regroupement de 30 entreprises comprend aussi, entre autres, Accenture, Banco Santander, BP, Credit Suisse, UBS, BBVA, ING, Bank of New York Mellon, Thomson Reuters et les startups ConsenSys et BlockApps.
L'Ethereum, un type de blockchain permettant de développer des applications décentralisées, a été inventée par un programmeur de 23 ans appelé Vitalik Buterin. Plusieurs banques l'ont déjà adaptée à la conception et à l'essai d'applications de trading.
La "blockchain", technologie de stockage et de transmission d'informations sans organe de contrôle, pourrait révolutionner le paiement dans les années à venir mais elle n'est pas encore tout à fait sûre, s'accordent à dire des experts et acteurs du secteur.
L'un des objectifs de l'EEA est précisément de développer la sécurité, la confidentialité et la souplesse de la blockchain Ethereum.
Ce n'est pas la seule initiative en cours.
Soixante-dix établissements financiers environ sont associés à R3 CEV, une startup new-yorkaise spécialisée dans la conception de technologies blockchain pour la finance, tandis que des groupes high tech tels qu'International Business Machines et Hitachi ont rejoint d'Hyperledger Project, un groupe emmené par la Fondation Linux.
L'initiative Enterprise Ethereum Alliance (EEA) doit être annoncé mardi, ont fait savoir les sociétés fondatrices lundi.
Ce regroupement de 30 entreprises comprend aussi, entre autres, Accenture, Banco Santander, BP, Credit Suisse, UBS, BBVA, ING, Bank of New York Mellon, Thomson Reuters et les startups ConsenSys et BlockApps.
L'Ethereum, un type de blockchain permettant de développer des applications décentralisées, a été inventée par un programmeur de 23 ans appelé Vitalik Buterin. Plusieurs banques l'ont déjà adaptée à la conception et à l'essai d'applications de trading.
La "blockchain", technologie de stockage et de transmission d'informations sans organe de contrôle, pourrait révolutionner le paiement dans les années à venir mais elle n'est pas encore tout à fait sûre, s'accordent à dire des experts et acteurs du secteur.
L'un des objectifs de l'EEA est précisément de développer la sécurité, la confidentialité et la souplesse de la blockchain Ethereum.
Ce n'est pas la seule initiative en cours.
Soixante-dix établissements financiers environ sont associés à R3 CEV, une startup new-yorkaise spécialisée dans la conception de technologies blockchain pour la finance, tandis que des groupes high tech tels qu'International Business Machines et Hitachi ont rejoint d'Hyperledger Project, un groupe emmené par la Fondation Linux.