Un 8 mars pas comme les autres. Ils sont nombreux ce jour, handicapés, démunis sociaux, besogneux d’églises et de paroisses, nécessiteux de mosquées et de tarikhas, organisateurs culturels de manifestations et de magal, hommes et femmes, qui vont en pâtir avec l’arrestation et le placement en dépôt à Rebeuss de Khalifa Sall, maire de Dakar.
Mais, il n’est pas interdit de penser qu’ils ont tant reçu de perfides avances sociales qu’ils sont obligés de rendre gorge forcés qu’ils sont de par leur maire futur candidat de parler du montant exact distribué ou perçu quand et où ? et par qui ou au nom de qui ? Élémentaire mon cher Watson, dirait l’autre au procureur Bassirou Guèye, récemment primé à l’internationale.
Mais être si tôt coiffé et très vite décoiffé il n’y a que pas qu’on ne franchirait plus allègrement vu ses menaces au propre comme au figuré, en wolof et en français clair, en court et précis.
Qu’avons-nous donc fait-nous autres pour être pris dans la nasse et sanctionnés de menaces gratuites valant avertissement de taille à tous ? N’aurait-il pas fallu commencer à traduire en justice l’un d’eux qui a osé le pire affront que l’on ne devrait balancer à la face d’un président, président de parti, de la justice, de l’armée, des lettres et des arts oratoires et culturels, expressifs et visuels ? Il s’agit bien du courageux Ibrahima Hamidou Dème.
N’aurait-il pas fallu accuser péremptoirement et du doigt pointé vers qui et qui ont déjà été épinglé par Madame Nafi Ngom Kéïta élue expresse à cette tâche d’assistance du Procureur en matière pénale de lutte contre la fraude et la corruption ? On ne pense pas à tous ces apéristes qui, si on les touche, on se pique au Proc qui sait si bien les laver à grande eau pour protéger sa cour et sa justice, sans jurés crédibles aux yeux du peuple déshérités, «hétistes» (chômeurs d’Algérie, désœuvrés dos au mur qui traînent, ou planeurs, drogueurs/drogués de «ban jaxlé , chez nous, agresseurs et petits délinquants), orphelins de mère (Aïda Ndiongue) et de père (Père Khaf).
Mais avec des anciens pontes encore à la barre et qui osent se réclamer toujours de l’onction populaire pour se dire mandants élus ou désignés du prince régent aux mains de fer dans un gant d’acier, contrairement à son mentor nouveau à nouveau éligible : Abdou Diouf, une main de fer dans un gant de velours disait on alors de lui qui paraissait être ferme sans l’être, mais au pouvoir si lâche qu’il avait fini par lâcher prise et devinez sous l’entremise à effets désastreux et les erreurs cumulés de qui ? OTD, le même qui vaut aujourd’hui à Macky Sall tout ce qui va lui arriver les mois et semaines à venir.
À cause de la détresse populaire dans laquelle il est en train de plonger des pans entiers de soutiens de famille qui le sont par l’entremise de la caisse d’avances, dirait-on. Il ne leur reste plus qu’à crier dès lors : «ne touche pas à ma caisse d’avances», «occupe toi de tes fonds noirs et lugubres, politiquement parlant», «rendez-vous notre Khalif sans comptes ni mécomptes, farce républicaine à une république bananière mal farcie »…..
A bon entendeur, wa Salam !
Mais, il n’est pas interdit de penser qu’ils ont tant reçu de perfides avances sociales qu’ils sont obligés de rendre gorge forcés qu’ils sont de par leur maire futur candidat de parler du montant exact distribué ou perçu quand et où ? et par qui ou au nom de qui ? Élémentaire mon cher Watson, dirait l’autre au procureur Bassirou Guèye, récemment primé à l’internationale.
Mais être si tôt coiffé et très vite décoiffé il n’y a que pas qu’on ne franchirait plus allègrement vu ses menaces au propre comme au figuré, en wolof et en français clair, en court et précis.
Qu’avons-nous donc fait-nous autres pour être pris dans la nasse et sanctionnés de menaces gratuites valant avertissement de taille à tous ? N’aurait-il pas fallu commencer à traduire en justice l’un d’eux qui a osé le pire affront que l’on ne devrait balancer à la face d’un président, président de parti, de la justice, de l’armée, des lettres et des arts oratoires et culturels, expressifs et visuels ? Il s’agit bien du courageux Ibrahima Hamidou Dème.
N’aurait-il pas fallu accuser péremptoirement et du doigt pointé vers qui et qui ont déjà été épinglé par Madame Nafi Ngom Kéïta élue expresse à cette tâche d’assistance du Procureur en matière pénale de lutte contre la fraude et la corruption ? On ne pense pas à tous ces apéristes qui, si on les touche, on se pique au Proc qui sait si bien les laver à grande eau pour protéger sa cour et sa justice, sans jurés crédibles aux yeux du peuple déshérités, «hétistes» (chômeurs d’Algérie, désœuvrés dos au mur qui traînent, ou planeurs, drogueurs/drogués de «ban jaxlé , chez nous, agresseurs et petits délinquants), orphelins de mère (Aïda Ndiongue) et de père (Père Khaf).
Mais avec des anciens pontes encore à la barre et qui osent se réclamer toujours de l’onction populaire pour se dire mandants élus ou désignés du prince régent aux mains de fer dans un gant d’acier, contrairement à son mentor nouveau à nouveau éligible : Abdou Diouf, une main de fer dans un gant de velours disait on alors de lui qui paraissait être ferme sans l’être, mais au pouvoir si lâche qu’il avait fini par lâcher prise et devinez sous l’entremise à effets désastreux et les erreurs cumulés de qui ? OTD, le même qui vaut aujourd’hui à Macky Sall tout ce qui va lui arriver les mois et semaines à venir.
À cause de la détresse populaire dans laquelle il est en train de plonger des pans entiers de soutiens de famille qui le sont par l’entremise de la caisse d’avances, dirait-on. Il ne leur reste plus qu’à crier dès lors : «ne touche pas à ma caisse d’avances», «occupe toi de tes fonds noirs et lugubres, politiquement parlant», «rendez-vous notre Khalif sans comptes ni mécomptes, farce républicaine à une république bananière mal farcie »…..
A bon entendeur, wa Salam !