Plusieurs centaines d'activistes du climat ont entamé dimanche dans les Alpes suisses une marche de trois jours pour rejoindre la station de Davos (est), où se tient la semaine prochaine la 50e édition du Forum économique mondial (WEF).
Les militants de tous âges, qui s'étaient d'abord rassemblés en fin de matinée sur la place de la gare de Landquart, une localité des Grisons, ont appelé le WEF et les dirigeants à prendre leurs responsabilités sur la question du climat, avec des pancartes indiquant notamment: "Il n'y a pas de planète B!"
"La question climatique, c'est le thème numéro 1, et cela doit tout simplement être le thème numéro 1 à Davos également et les participants doivent le reconnaître, ils doivent aller dans cette direction, c'est essentiel", a déclaré à l'AFP Katherine, retraitée de Zurich.
Les autorités n'ont autorisé que les deux premiers jours de la marche, entre Landquart et Klosters, mais pas la dernière étape jusqu'à Davos. Les activistes ont annoncé qu'ils la poursuivraient quand même en passant par des sentiers de randonnée.
Le coup d'envoi de cette marche du climat d'une quarantaine de kilomètres a été donné à 13h30 dans une ambiance festive, au son des cors des Alpes.
Les activistes se sont élancés dans les rues de Landquart, derrière une banderole: "Crise du climat: un échec économique mondial".
"Nous voici avec 700 personnes qui marchent vers Davos. C'est incroyable, c'est une solidarité incroyable. Ils comprennent l'immoralité de Davos, l'immoralité d'une classe milliardaire qui se réunit chaque année pour célébrer ses excès", a lancé à l'AFP Njoki Njoroge Njehu, jeune militante kenyane pour le climat, qui avait fait un discours vendredi lors d'une manifestation dans la ville suisse de Lausanne.
La jeune militante suédoise Greta Thunberg, qui avait participé à la marche dans les rues de Lausanne, n'était en revanche pas de la partie à Landquart.
Elle est attendue mardi au WEF, où elle doit s'adresser aux participants, juste après le discours du président américain Donald Trump, vedette de cette édition Forum économique mondial de Davos.
Une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement sont attendus la semaine prochaine (21 au 24 janvier) dans cette station de sports d'hiver. Ils seront aux côtés de plus de 2.800 participants.
Dans un communiqué, le WEF a indiqué que le "changement climatique est un thème clé de Davos 2020", expliquant avoir envoyé une lettre aux chefs d'entreprise qui vont y participer pour les inviter à atteindre la neutralité carbone pour 2050.
Les militants de tous âges, qui s'étaient d'abord rassemblés en fin de matinée sur la place de la gare de Landquart, une localité des Grisons, ont appelé le WEF et les dirigeants à prendre leurs responsabilités sur la question du climat, avec des pancartes indiquant notamment: "Il n'y a pas de planète B!"
"La question climatique, c'est le thème numéro 1, et cela doit tout simplement être le thème numéro 1 à Davos également et les participants doivent le reconnaître, ils doivent aller dans cette direction, c'est essentiel", a déclaré à l'AFP Katherine, retraitée de Zurich.
Les autorités n'ont autorisé que les deux premiers jours de la marche, entre Landquart et Klosters, mais pas la dernière étape jusqu'à Davos. Les activistes ont annoncé qu'ils la poursuivraient quand même en passant par des sentiers de randonnée.
Le coup d'envoi de cette marche du climat d'une quarantaine de kilomètres a été donné à 13h30 dans une ambiance festive, au son des cors des Alpes.
Les activistes se sont élancés dans les rues de Landquart, derrière une banderole: "Crise du climat: un échec économique mondial".
"Nous voici avec 700 personnes qui marchent vers Davos. C'est incroyable, c'est une solidarité incroyable. Ils comprennent l'immoralité de Davos, l'immoralité d'une classe milliardaire qui se réunit chaque année pour célébrer ses excès", a lancé à l'AFP Njoki Njoroge Njehu, jeune militante kenyane pour le climat, qui avait fait un discours vendredi lors d'une manifestation dans la ville suisse de Lausanne.
La jeune militante suédoise Greta Thunberg, qui avait participé à la marche dans les rues de Lausanne, n'était en revanche pas de la partie à Landquart.
Elle est attendue mardi au WEF, où elle doit s'adresser aux participants, juste après le discours du président américain Donald Trump, vedette de cette édition Forum économique mondial de Davos.
Une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement sont attendus la semaine prochaine (21 au 24 janvier) dans cette station de sports d'hiver. Ils seront aux côtés de plus de 2.800 participants.
Dans un communiqué, le WEF a indiqué que le "changement climatique est un thème clé de Davos 2020", expliquant avoir envoyé une lettre aux chefs d'entreprise qui vont y participer pour les inviter à atteindre la neutralité carbone pour 2050.