Bouygues Telecom, Free (groupe Iliad), Orange et SFR (Altice Europe) ont déposé comme prévu leur candidature dans le cadre de l’attribution des fréquences 5G en France métropolitaine, a annoncé mercredi l’Arcep.
Les quatre opérateurs ont chacun sollicité l’attribution d’un des quatre blocs de 50 MHz qui seront attribués en avril, avec pour objectif de délivrer les autorisations d’émettre “au plus tard” en juin prochain, précise dans un communiqué l’autorité de régulation des télécoms.
La secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie Agnès Pannier-Runacher avait indiqué en novembre dernier qu’un prix plancher de 2,17 milliards d’euros avait été fixé par le gouvernement pour la totalité de ces fréquences, situées dans la bande de 3,4-3,8 Gigahertz.
Cette nouvelle norme mobile permet d’offrir des débits sans commune mesure avec la 4G. Son développement est très attendu dans des secteurs aussi divers que l’industrie, la santé et que celui des loisirs. (Reuters)
Les quatre opérateurs ont chacun sollicité l’attribution d’un des quatre blocs de 50 MHz qui seront attribués en avril, avec pour objectif de délivrer les autorisations d’émettre “au plus tard” en juin prochain, précise dans un communiqué l’autorité de régulation des télécoms.
La secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie Agnès Pannier-Runacher avait indiqué en novembre dernier qu’un prix plancher de 2,17 milliards d’euros avait été fixé par le gouvernement pour la totalité de ces fréquences, situées dans la bande de 3,4-3,8 Gigahertz.
Cette nouvelle norme mobile permet d’offrir des débits sans commune mesure avec la 4G. Son développement est très attendu dans des secteurs aussi divers que l’industrie, la santé et que celui des loisirs. (Reuters)