Le département américain de la Défense a démenti jeudi fournir des renseignements permettant aux forces ukrainiennes de viser des hauts gradés russes près du front, ainsi que l’a affirmé le New York Times.
Il est exact que les États-Unis transmettent à Kyiv des éléments des renseignements « afin d’aider les Ukrainiens à défendre leur pays », a déclaré John Kirby, le porte-parole du Pentagone.
Mais, a-t-il ajouté, « nous ne fournissons pas d’informations sur la localisation de hauts commandants militaires sur le champ de bataille, pas plus que nous ne participons aux décisions de ciblage prises par les militaires ukrainiens ».
Le New York Times a au contraire affirmé mercredi, citant des sources anonymes au sein des services américains, que les renseignements fournis par les États-Unis à l’armée ukrainienne avaient permis de cibler plusieurs généraux russes près du front.
Citant plusieurs hauts responsables américains, le journal a déclaré que sur la douzaine de généraux russes tués par les forces ukrainiennes, « beaucoup » avaient été ciblés avec l’aide des services de renseignement américains.
Le Conseil de sécurité nationale américain (NSC) avait déjà qualifié d’« irresponsable » l’affirmation selon laquelle les États-Unis aidaient l’Ukraine à tuer des généraux russes.
« Les États-Unis fournissent des renseignements sur le champ de bataille pour aider les Ukrainiens à défendre leur pays », avait déclaré à l’AFP Adrienne Watson, porte-parole du NSC, dans un courriel.
« Nous ne fournissons pas de renseignements dans l’intention de tuer des généraux russes », avait-elle souligné.
Les efforts de renseignement de Washington pour aider l’Ukraine au plus près, dans les combats, se sont notamment « concentrés sur la détermination de la localisation et d’autres détails sur les quartiers généraux mobiles de l’armée russe, qui se déplacent régulièrement », écrit le New York Times.
Lundi, le Pentagone avait officiellement indiqué que le chef d’état-major russe, Valéri Guerassimov, s’était rendu pendant « plusieurs jours » la semaine dernière sur le front dans la région du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, suggérant ainsi que les plus hauts responsables militaires russes se rapprochaient des combats.
Mais le Pentagone n’avait pas confirmé les rumeurs de blessures concernant Valéri Guerassimov.
Il est exact que les États-Unis transmettent à Kyiv des éléments des renseignements « afin d’aider les Ukrainiens à défendre leur pays », a déclaré John Kirby, le porte-parole du Pentagone.
Mais, a-t-il ajouté, « nous ne fournissons pas d’informations sur la localisation de hauts commandants militaires sur le champ de bataille, pas plus que nous ne participons aux décisions de ciblage prises par les militaires ukrainiens ».
Le New York Times a au contraire affirmé mercredi, citant des sources anonymes au sein des services américains, que les renseignements fournis par les États-Unis à l’armée ukrainienne avaient permis de cibler plusieurs généraux russes près du front.
Citant plusieurs hauts responsables américains, le journal a déclaré que sur la douzaine de généraux russes tués par les forces ukrainiennes, « beaucoup » avaient été ciblés avec l’aide des services de renseignement américains.
Le Conseil de sécurité nationale américain (NSC) avait déjà qualifié d’« irresponsable » l’affirmation selon laquelle les États-Unis aidaient l’Ukraine à tuer des généraux russes.
« Les États-Unis fournissent des renseignements sur le champ de bataille pour aider les Ukrainiens à défendre leur pays », avait déclaré à l’AFP Adrienne Watson, porte-parole du NSC, dans un courriel.
« Nous ne fournissons pas de renseignements dans l’intention de tuer des généraux russes », avait-elle souligné.
Les efforts de renseignement de Washington pour aider l’Ukraine au plus près, dans les combats, se sont notamment « concentrés sur la détermination de la localisation et d’autres détails sur les quartiers généraux mobiles de l’armée russe, qui se déplacent régulièrement », écrit le New York Times.
Lundi, le Pentagone avait officiellement indiqué que le chef d’état-major russe, Valéri Guerassimov, s’était rendu pendant « plusieurs jours » la semaine dernière sur le front dans la région du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, suggérant ainsi que les plus hauts responsables militaires russes se rapprochaient des combats.
Mais le Pentagone n’avait pas confirmé les rumeurs de blessures concernant Valéri Guerassimov.