Quelque 6200 militaires sont déjà présents dans la capitale fédérale et ils seront 10 000 ce week-end, a déclaré le général Daniel Hokanson lors d’un point-presse par téléphone. Environ 5000 soldats supplémentaires pourront les rejoindre pour la prestation de serment du démocrate.
Pour l’instant, leur mission est limitée à un soutien logistique à la police locale et ils ne seront autorisés qu’« en dernier recours » à procéder eux-mêmes à des interpellations, si la situation devenait hors de contrôle, a ajouté l’officier qui supervise le bureau de la Garde nationale au département de la Défense.
Le Pentagone a été critiqué pour avoir tardé à déployer la Garde nationale mercredi 6 janvier quand des partisans du président Donald Trump ont envahi le Capitole, semant le chaos et la violence au sein du temple de la démocratie américaine.
Selon le général Hokanson, « le niveau de violence » des manifestants « n’avait pas été anticipé ».
De nouveaux appels à agir, le 17 janvier, ont commencé à circuler dès la semaine dernière sur les réseaux sociaux et la maire de Washington, Muriel Bowser, a prolongé l’état d’urgence jusqu’au 20 janvier pour être en mesure de réinstaurer rapidement un couvre-feu si le besoin s’en faisait sentir.
Lundi, elle a appelé les Américains à « ne pas venir à Washington pour la 59e cérémonie d’investiture le 20 janvier et d’y participer de manière virtuelle ». (AFP)
Pour l’instant, leur mission est limitée à un soutien logistique à la police locale et ils ne seront autorisés qu’« en dernier recours » à procéder eux-mêmes à des interpellations, si la situation devenait hors de contrôle, a ajouté l’officier qui supervise le bureau de la Garde nationale au département de la Défense.
Le Pentagone a été critiqué pour avoir tardé à déployer la Garde nationale mercredi 6 janvier quand des partisans du président Donald Trump ont envahi le Capitole, semant le chaos et la violence au sein du temple de la démocratie américaine.
Selon le général Hokanson, « le niveau de violence » des manifestants « n’avait pas été anticipé ».
De nouveaux appels à agir, le 17 janvier, ont commencé à circuler dès la semaine dernière sur les réseaux sociaux et la maire de Washington, Muriel Bowser, a prolongé l’état d’urgence jusqu’au 20 janvier pour être en mesure de réinstaurer rapidement un couvre-feu si le besoin s’en faisait sentir.
Lundi, elle a appelé les Américains à « ne pas venir à Washington pour la 59e cérémonie d’investiture le 20 janvier et d’y participer de manière virtuelle ». (AFP)