JERUSALEM (Reuters) - Teva Pharmaceutical Industries, premier fabricant mondial de génériques, pourrait supprimer jusqu'à 6.000 postes à travers le monde, dans le cadre d'un plan de restructuration pluriannuel, rapporte jeudi le site israélien d'informations financières Calcalist.
Un porte-parole du groupe s'est refusé à commenter cette information.
L'entreprise, cotée à Tel Aviv et à New York, emploie 57.000 personnes à travers le monde et est la plus grosse capitalisation boursière israélienne.
L'année 2016 a été difficile pour le groupe, avec notamment des acquisitions coûteuses et des retards de lancement de nouveaux médicaments.
Depuis le début de l'année, l'action cotée à New York accuse une baisse de 10,04% après avoir déjà plongé de 44,8% en 2016.
Teva est sans directeur général permanent depuis février après la démission d'Erez Vigodman, victime de la défiance des investisseurs vis-à-vis du groupe. Yitzhak Peterburg assure les fonctions de directeur général par intérim.
Teva a déjà supprimé une centaine de postes en Israël, selon Calcalist.
Un porte-parole du groupe s'est refusé à commenter cette information.
L'entreprise, cotée à Tel Aviv et à New York, emploie 57.000 personnes à travers le monde et est la plus grosse capitalisation boursière israélienne.
L'année 2016 a été difficile pour le groupe, avec notamment des acquisitions coûteuses et des retards de lancement de nouveaux médicaments.
Depuis le début de l'année, l'action cotée à New York accuse une baisse de 10,04% après avoir déjà plongé de 44,8% en 2016.
Teva est sans directeur général permanent depuis février après la démission d'Erez Vigodman, victime de la défiance des investisseurs vis-à-vis du groupe. Yitzhak Peterburg assure les fonctions de directeur général par intérim.
Teva a déjà supprimé une centaine de postes en Israël, selon Calcalist.