La nouvelle campagne lancée par le gouvernement fédéral pour réglementer les médias sociaux fait débat au Nigeria, une campagne qui fait suite aux manifestations #EndSARS contre la brutalité policière. Si le gouvernement parvient à faire passer son projet visant à contrôler les réseaux sociaux, ce sont autant de moyens de communication qui pourraient être menacés.
Whatsapp, Facebook, Messenger, Skype ou encore Viber sont au cœur du débat près d’un mois après la répression brutale du mouvement de protestation de la jeunesse contre les violences policières et pour une meilleure gouvernance dans le pays.
Les déclarations en faveur d’un contrôle d’internet par les autorités nigérianes se multiplient. J. J. Omojuwa est un blogueur nigérian influent sur les réseaux sociaux. Connu pour son franc-parler, il craint que cela "va limiter l’accès à l’internet. J'espère que le gouvernement ferait mieux de ne pas aller en guerre contre ses citoyens et de ne pas mettre un terme à leur liberté d’expression et violer leurs droits humains". (VOA)
Whatsapp, Facebook, Messenger, Skype ou encore Viber sont au cœur du débat près d’un mois après la répression brutale du mouvement de protestation de la jeunesse contre les violences policières et pour une meilleure gouvernance dans le pays.
Les déclarations en faveur d’un contrôle d’internet par les autorités nigérianes se multiplient. J. J. Omojuwa est un blogueur nigérian influent sur les réseaux sociaux. Connu pour son franc-parler, il craint que cela "va limiter l’accès à l’internet. J'espère que le gouvernement ferait mieux de ne pas aller en guerre contre ses citoyens et de ne pas mettre un terme à leur liberté d’expression et violer leurs droits humains". (VOA)