KHARTOUM, 26 septembre (Xinhua) -- Le Soudan a réaffirmé lundi son refus de devenir une base arrière pour les groupes d'opposition sud-soudanais, selon le journal Sudan Tribune.
"Le Soudan est un des membres de base du comité tripartite nommé par l'Autorité intergouvernementale pour le Développement (IGAD) en Afrique pour superviser l'application de l'accord de paix au Soudan du Sud", a déclaré Ibrahim Ghandour, ministre des Affaires étrangères du Soudan, cité par la presse.
"Le Soudan ne deviendra pas une base opérationnelle pour les groupes armés d'opposition du Soudan du Sud. Le Soudan a toujours été un acteur à part entière de toutes les initiatives visant à rétablir la paix au Soudan du Sud", a-t-il ajouté.
M. Ghandour a souligné que le désir du Soudan de voir la paix rétablie au Soudan du Sud tenait avant tout au fait qu'aucun des deux pays ne peut être en paix si l'autre ne l'est pas également.
Le Soudan et le Soudan du Sud s'accusent souvent mutuellement de soutenir ou d'abriter des groupes armés actifs dans les deux pays.
Le 22 août, les deux parties ont convenu de résoudre toutes les questions de sécurité qui les divisaient encore dans un délai de 21 jours. L'accord conclu à cette occasion n'a cependant pas encore été appliqué.
"Le Soudan est un des membres de base du comité tripartite nommé par l'Autorité intergouvernementale pour le Développement (IGAD) en Afrique pour superviser l'application de l'accord de paix au Soudan du Sud", a déclaré Ibrahim Ghandour, ministre des Affaires étrangères du Soudan, cité par la presse.
"Le Soudan ne deviendra pas une base opérationnelle pour les groupes armés d'opposition du Soudan du Sud. Le Soudan a toujours été un acteur à part entière de toutes les initiatives visant à rétablir la paix au Soudan du Sud", a-t-il ajouté.
M. Ghandour a souligné que le désir du Soudan de voir la paix rétablie au Soudan du Sud tenait avant tout au fait qu'aucun des deux pays ne peut être en paix si l'autre ne l'est pas également.
Le Soudan et le Soudan du Sud s'accusent souvent mutuellement de soutenir ou d'abriter des groupes armés actifs dans les deux pays.
Le 22 août, les deux parties ont convenu de résoudre toutes les questions de sécurité qui les divisaient encore dans un délai de 21 jours. L'accord conclu à cette occasion n'a cependant pas encore été appliqué.