WASHINGTON (Reuters) - La Maison blanche a démenti lundi une information selon laquelle l'administration Trump aurait discuté avec les autorités israéliennes d'un projet d'annexion des colonies de peuplement en Cisjordanie.
Josh Raffel, porte-parole de la présidence américaine, a affirmé que cette information était fausse.
"Les Etats-Unis et Israël n'ont jamais discuté d'une telle proposition et la préoccupation du président demeure centrée sur son initiative de paix israélo-palestinienne", a-t-il dit.
"Sur la question de l'application de la souveraineté, je peux dire que j'en parle avec les Américains depuis un certain temps", a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lors d'une réunion avec les membres de son parti le Likoud à huis clos.
Netanyahu faisait référence à l'application du droit israélien dans les colonies de peuplement, un pas décisif vers l'annexion. Ces colonies sont pour l'instant sous la juridiction de l'armée qui occupe la Cisjordanie depuis 1967.
Certains observateurs estiment que les remarques de Netanyahu aux élus de son parti visaient surtout à apaiser les membres les plus orthodoxes de son gouvernement.
La déclaration a provoqué la colère des Palestiniens, déjà agacés par la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale de l'Etat hébreu, le 6 décembre.
Nabil Abou Rdainah, porte-parole du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a estimé qu'une telle annexion "détruirait tous les efforts pour tenter de sauver le processus de paix".
"Personne n'a le droit de discuter de la situation des terres palestiniennes occupées", a dit Abou Rdainah à Moscou où Mahmoud Abbas a des entretiens avec Vladimir Poutine.
Les deux dirigeants discuteraient de nouvelles options pour une médiation au Proche-Orient.
Josh Raffel, porte-parole de la présidence américaine, a affirmé que cette information était fausse.
"Les Etats-Unis et Israël n'ont jamais discuté d'une telle proposition et la préoccupation du président demeure centrée sur son initiative de paix israélo-palestinienne", a-t-il dit.
"Sur la question de l'application de la souveraineté, je peux dire que j'en parle avec les Américains depuis un certain temps", a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu lors d'une réunion avec les membres de son parti le Likoud à huis clos.
Netanyahu faisait référence à l'application du droit israélien dans les colonies de peuplement, un pas décisif vers l'annexion. Ces colonies sont pour l'instant sous la juridiction de l'armée qui occupe la Cisjordanie depuis 1967.
Certains observateurs estiment que les remarques de Netanyahu aux élus de son parti visaient surtout à apaiser les membres les plus orthodoxes de son gouvernement.
La déclaration a provoqué la colère des Palestiniens, déjà agacés par la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale de l'Etat hébreu, le 6 décembre.
Nabil Abou Rdainah, porte-parole du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a estimé qu'une telle annexion "détruirait tous les efforts pour tenter de sauver le processus de paix".
"Personne n'a le droit de discuter de la situation des terres palestiniennes occupées", a dit Abou Rdainah à Moscou où Mahmoud Abbas a des entretiens avec Vladimir Poutine.
Les deux dirigeants discuteraient de nouvelles options pour une médiation au Proche-Orient.