Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), alliance jihadiste dirigée par Iyad Ag Ghaly, se dit prêt à négocier avec Bamako, mais pose ses conditions : que la France et l'ONU retirent leurs forces du Mali. ... Ce communiqué du groupe jihadiste fait suite à la récente décision du président malien Ibrahim Boubacar Keïta de rompre avec la ligne suivie jusqu'alors officiellement dans le conflit en cours depuis 2012 et de tenter de dialoguer avec certains jihadistes maliens.
« J'ai le devoir et la mission de créer tous les espaces possibles et de tout faire pour que, par un biais ou un autre, nous parvenions à un apaisement. Il est temps que certaines voies soient explorées [...]. Nous ne sommes pas des gens butés, bloqués ou obtus », avait notamment déclaré le président malien, le 10 février dernier.
« J'ai le devoir et la mission de créer tous les espaces possibles et de tout faire pour que, par un biais ou un autre, nous parvenions à un apaisement. Il est temps que certaines voies soient explorées [...]. Nous ne sommes pas des gens butés, bloqués ou obtus », avait notamment déclaré le président malien, le 10 février dernier.