BAMAKO (Reuters) - Un employé malien du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a été tué par balles dans la nuit de mercredi à jeudi à Gao, dans le nord du pays, a annoncé un porte-parole de l'institution humanitaire.
Saouré Barthélémi a précisé que les circonstances exactes de son décès n'avaient pas encore été établies.
L'employé se rendait auprès de sa famille. Il ne travaillait pas lorsqu'il a été tué. D'après un habitant, il a été mortellement touché par deux hommes qui circulaient à moto et a succombé à ses blessures après avoir transporté dans un hôpital.
Le nord du Mali est en proie à un regain de violences liées aux groupes islamistes, y compris Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
En dépit de l'important dispositif de sécurité dans Gao avec la présence de soldats français de l'opération Barkhane, de casques bleus de l'Onu et de soldats maliens, la ville, considérée comme la plus sûre du Nord-Mali, n'est pas épargnée par les violences. Une humanitaire française, Sophie Pétronin, y a été enlevée le 24 décembre.
Saouré Barthélémi a précisé que les circonstances exactes de son décès n'avaient pas encore été établies.
L'employé se rendait auprès de sa famille. Il ne travaillait pas lorsqu'il a été tué. D'après un habitant, il a été mortellement touché par deux hommes qui circulaient à moto et a succombé à ses blessures après avoir transporté dans un hôpital.
Le nord du Mali est en proie à un regain de violences liées aux groupes islamistes, y compris Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
En dépit de l'important dispositif de sécurité dans Gao avec la présence de soldats français de l'opération Barkhane, de casques bleus de l'Onu et de soldats maliens, la ville, considérée comme la plus sûre du Nord-Mali, n'est pas épargnée par les violences. Une humanitaire française, Sophie Pétronin, y a été enlevée le 24 décembre.