Le chef du bureau des affaires humanitaires de l'ONU (Ocha), Mark Lowcock, est arrivé mardi au Yémen, sa première visite dans ce pays en guerre et en proie à une crise humanitaire aiguë.
"J'ai décidé de venir au Yémen parce que je suis profondément inquiet de la crise humanitaire qui continue de s'aggraver", a déclaré le responsable de l'ONU à des journalistes à son arrivée à Aden, la capitale du sud du pays contrôlée par les forces gouvernementales.
La guerre au Yémen oppose depuis 2014 les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi, chassées de la capitale Sanaa, aux rebelles Houthis accusés d'être soutenus par l'Iran et qui se sont alliés à des unités militaires restées fidèles à l'ex-président Ali Abdallah Saleh.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, le conflit a fait plus de 8.650 morts dont de nombreux civils.
Plus de 11 millions d'enfants yéménites ont besoin d'assistance humanitaire en raison de la guerre, a indiqué lundi l'Ocha. Ils sont des victimes directes de la pire crise alimentaire au monde, d'une épidémie sans précédent de choléra et de l'absence d'accès aux services médicaux, selon l'organisation.
Il s'agit de la première visite au Yémen de M. Lowcock depuis sa prise de fonctions le 1er septembre.
Le responsable de l'ONU a précisé qu'il aurait lors de sa visite de cinq jours des entretiens avec des responsables à Aden et serait à l'écoute des citoyens yéménites affectés par le conflit.
"Je compte rencontrer des citoyens parmi les plus vulnérables pour connaître leurs inquiétudes (...) et informer la communauté internationale de leur situation", a-t-il ajouté.
En mars 2015, les forces gouvernementales ont reçu le soutien d'une coalition militaire arabe emmenée par l'Arabie saoudite et les combats et les raids aériens n'ont pas cessé depuis.
Toutes les négociations et tentatives de cessez-le-feu ont échoué.
"J'ai décidé de venir au Yémen parce que je suis profondément inquiet de la crise humanitaire qui continue de s'aggraver", a déclaré le responsable de l'ONU à des journalistes à son arrivée à Aden, la capitale du sud du pays contrôlée par les forces gouvernementales.
La guerre au Yémen oppose depuis 2014 les forces loyales au président Abd Rabbo Mansour Hadi, chassées de la capitale Sanaa, aux rebelles Houthis accusés d'être soutenus par l'Iran et qui se sont alliés à des unités militaires restées fidèles à l'ex-président Ali Abdallah Saleh.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, le conflit a fait plus de 8.650 morts dont de nombreux civils.
Plus de 11 millions d'enfants yéménites ont besoin d'assistance humanitaire en raison de la guerre, a indiqué lundi l'Ocha. Ils sont des victimes directes de la pire crise alimentaire au monde, d'une épidémie sans précédent de choléra et de l'absence d'accès aux services médicaux, selon l'organisation.
Il s'agit de la première visite au Yémen de M. Lowcock depuis sa prise de fonctions le 1er septembre.
Le responsable de l'ONU a précisé qu'il aurait lors de sa visite de cinq jours des entretiens avec des responsables à Aden et serait à l'écoute des citoyens yéménites affectés par le conflit.
"Je compte rencontrer des citoyens parmi les plus vulnérables pour connaître leurs inquiétudes (...) et informer la communauté internationale de leur situation", a-t-il ajouté.
En mars 2015, les forces gouvernementales ont reçu le soutien d'une coalition militaire arabe emmenée par l'Arabie saoudite et les combats et les raids aériens n'ont pas cessé depuis.
Toutes les négociations et tentatives de cessez-le-feu ont échoué.