Le Secrétaire général exhorte tous les leaders politiques et d’opinion, ainsi que leurs partisans, à s’abstenir de toute incitation à la violence, de répandre la désinformation et d’utiliser des discours de haine », a dit son porte-parole, Stéphane Dujarric, dans une déclaration à la presse.
« Il encourage les autorités, y compris les forces de sécurité, à créer un environnement sûr et à protéger et faire respecter les droits de l'homme durant le processus électoral », a-t-il ajouté.
Le chef de l’ONU encourage vivement les dirigeants politiques et leurs partis à résoudre tout différend qui pourrait survenir par le dialogue. « Il réitère l’engagement des Nations Unies à soutenir les efforts du pays visant à consolider les acquis démocratiques et la cohésion nationale », a conclu le porte-parole.
La semaine dernière, le Secrétaire général de l’ONU avait déjà demandé aux leaders politiques et d’opinion en Côte d’Ivoire de rejeter « tous discours haineux et incitations à la violence d’inspiration politico-ethniciste ».
Mardi, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), dirigé par Michelle Bachelet, avait dénoncé les discours de haine à relent ethnique pendant la campagne électorale.
L’ONU redoute surtout les conséquences de tels propos sur le terrain. « Nous appelons toutes les parties à s’abstenir d’utiliser un langage discriminatoire et provocateur avec des affiliations ethniques qui pourrait conduire à davantage de divisions dans la société et, en fin de compte, à la violence », avait déclaré Ravina Shamdasani, une porte-parole du HCDH. (news.un.org)
« Il encourage les autorités, y compris les forces de sécurité, à créer un environnement sûr et à protéger et faire respecter les droits de l'homme durant le processus électoral », a-t-il ajouté.
Le chef de l’ONU encourage vivement les dirigeants politiques et leurs partis à résoudre tout différend qui pourrait survenir par le dialogue. « Il réitère l’engagement des Nations Unies à soutenir les efforts du pays visant à consolider les acquis démocratiques et la cohésion nationale », a conclu le porte-parole.
La semaine dernière, le Secrétaire général de l’ONU avait déjà demandé aux leaders politiques et d’opinion en Côte d’Ivoire de rejeter « tous discours haineux et incitations à la violence d’inspiration politico-ethniciste ».
Mardi, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH), dirigé par Michelle Bachelet, avait dénoncé les discours de haine à relent ethnique pendant la campagne électorale.
L’ONU redoute surtout les conséquences de tels propos sur le terrain. « Nous appelons toutes les parties à s’abstenir d’utiliser un langage discriminatoire et provocateur avec des affiliations ethniques qui pourrait conduire à davantage de divisions dans la société et, en fin de compte, à la violence », avait déclaré Ravina Shamdasani, une porte-parole du HCDH. (news.un.org)