Le Mouvement dénommé ’’noh Djunta mon pa Fidjus di tchom riba cassa’’ qui signifie (unissons-nous pour que le retour des fils de cette terre dans leur patrie, en langue créole), prévoit de recueillir plus de 50.000 signatures.
Selon Fernando Gomes, les Bissau guinéens exilés peuvent contribuer à la construction d'un pays démocratique, tolérant, d’un État responsable, fiable, crédible et respecté, et dont le développement est fondé sur la paix, la justice sociale, le respect de chacun.
"L'exil est une situation absolument inacceptable dans un pays, car c’est une expulsion du pays, l'exil est désastreux, vivre en exil est un sentiment de perte et de vide constant", a estimé le coordonnateur du mouvement.
Il a souligné qu'une personne exilée peut même être ensemble avec ses amis et sa famille, mais l'exil entraine une nostalgie particulière envers ceux qui restent dans ton pays.
La campagne se déroule du 5 Janvier au 31 Mars 2017 dans tout le pays et dans la diaspora.
Le Mouvement civique national appelé "Noh Djunta Mom pa Fidjus Tchom di riba Terra", réunit des éléments de la société civile, des organisations religieuses, des partis politiques et des chefs traditionnels. (APA)
Selon Fernando Gomes, les Bissau guinéens exilés peuvent contribuer à la construction d'un pays démocratique, tolérant, d’un État responsable, fiable, crédible et respecté, et dont le développement est fondé sur la paix, la justice sociale, le respect de chacun.
"L'exil est une situation absolument inacceptable dans un pays, car c’est une expulsion du pays, l'exil est désastreux, vivre en exil est un sentiment de perte et de vide constant", a estimé le coordonnateur du mouvement.
Il a souligné qu'une personne exilée peut même être ensemble avec ses amis et sa famille, mais l'exil entraine une nostalgie particulière envers ceux qui restent dans ton pays.
La campagne se déroule du 5 Janvier au 31 Mars 2017 dans tout le pays et dans la diaspora.
Le Mouvement civique national appelé "Noh Djunta Mom pa Fidjus Tchom di riba Terra", réunit des éléments de la société civile, des organisations religieuses, des partis politiques et des chefs traditionnels. (APA)