La livraison de mardi de la presse quotidienne revient largement sur le meurtre de Bineta Camara à Tambacounda, à la faveur de l’arrestation la veille d’un individu d’une trentaine d’années ayant reconnu être l’auteur de ce crime.
"La rançon de l’ingratitude", commente le quotidien Enquête à sa Une, en annonçant l’arrestation de Pape Alioune Fall, qui a avoué le meurtre de Bineta Camara. "Il était le bras droit et homme à tout faire de Malal Camara, père de la victime".
"Cruauté et cynisme du meurtrier de Bineta Camara", renchérit Vox Populi, qui explique qu’après son crime, "ce militant de l’APR et proche du père de la défunte, s’épanchait sur WhatsApp pour compatir à la douleur de la famille de Bineta et donner des nouvelles de l’enquête".
D’où cette manchette de Kritik’ : "Le monstre à visage humain". Selon Libération, les traces de sperme retrouvées sur les habits de la victime sont identiques à celles détectées sur le caleçon que portait Pape Alioune Fall le jour des faits.
"Pape Alioune Fall, qui n’a pas réussi à violer Bineta Camara, l’a finalement sauvagement tuée, avant d’être confondu par les limiers amenés par le procureur de Tamba, Demba Traoré", écrit Le Soleil.
Selon le journal Le Quotidien, Pape Alioune Fall a été arrêté lundi aux environs de 17 heures. "Il a été alpagué avec le portable de la victime qu’il détenait par devers lui à la maison mortuaire même. C’est grâce au système de géolocalisation qu’il a été retrouvé", précise le journal.
"Pour l’heure, il est arrêté et il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés", note Le Témoin quotidien, L’As signalant que le sang du bourreau laissé sur la robe de la victime "a été déterminant dans l’enquête".
"Il se serait agi d’une tentative de viol qui a mal tourné", écrit Walfquotidien, ajoutant que devant les enquêteurs, Pape Alioune Fall, 38 ans, "a avoué son crime et expliqué le mobile de son crime". (APS)
"La rançon de l’ingratitude", commente le quotidien Enquête à sa Une, en annonçant l’arrestation de Pape Alioune Fall, qui a avoué le meurtre de Bineta Camara. "Il était le bras droit et homme à tout faire de Malal Camara, père de la victime".
"Cruauté et cynisme du meurtrier de Bineta Camara", renchérit Vox Populi, qui explique qu’après son crime, "ce militant de l’APR et proche du père de la défunte, s’épanchait sur WhatsApp pour compatir à la douleur de la famille de Bineta et donner des nouvelles de l’enquête".
D’où cette manchette de Kritik’ : "Le monstre à visage humain". Selon Libération, les traces de sperme retrouvées sur les habits de la victime sont identiques à celles détectées sur le caleçon que portait Pape Alioune Fall le jour des faits.
"Pape Alioune Fall, qui n’a pas réussi à violer Bineta Camara, l’a finalement sauvagement tuée, avant d’être confondu par les limiers amenés par le procureur de Tamba, Demba Traoré", écrit Le Soleil.
Selon le journal Le Quotidien, Pape Alioune Fall a été arrêté lundi aux environs de 17 heures. "Il a été alpagué avec le portable de la victime qu’il détenait par devers lui à la maison mortuaire même. C’est grâce au système de géolocalisation qu’il a été retrouvé", précise le journal.
"Pour l’heure, il est arrêté et il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés", note Le Témoin quotidien, L’As signalant que le sang du bourreau laissé sur la robe de la victime "a été déterminant dans l’enquête".
"Il se serait agi d’une tentative de viol qui a mal tourné", écrit Walfquotidien, ajoutant que devant les enquêteurs, Pape Alioune Fall, 38 ans, "a avoué son crime et expliqué le mobile de son crime". (APS)