Initiés en 2014, les Prix africains de fact-checking sont les seuls à récompenser, chaque année, des journalistes de médias basés en Afrique dans le domaine en plein essor de la vérification des faits.
En 2019, voici les différents prix à remporter :
Fact-check de l’année par un journaliste en activité,
Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme,
Finaliste de l’une des deux catégories ci-dessus.
Les articles soumis doivent avoir été publiés ou diffusés entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019. Ils doivent avoir exposé une déclaration, trompeuse ou erronée sur un sujet important, faite par une personnalité publique ou par une institution en Afrique.
Le gagnant du Prix du meilleur article de fact-checking par un journaliste en activité recevra un prix de 2 000 dollars, tandis que le finaliste se verra attribuer 1 000 dollars. Le lauréat du Prix du meilleur article de fact-checking par un étudiant en journalisme recevra un prix de 1 000 dollars et le second 500 dollars.
Fact-check de l’année par un journaliste en activité
Pour être éligible, l’article doit être une production journalistique vérifiant un ou plusieurs faits et publiée ou diffusée pour la première fois – entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019 – par un média basé en Afrique. La production peut être soumise sous forme imprimée ou en ligne (y compris sur un blog), diffusée à la radio ou à la télévision. Les articles publiés par Africa Check ne sont pas admissibles au concours.
Les candidats présélectionnés
Divine Yawo Edem Srem (Adom TV, Ghana) : « Poverty of the Golden Towns »
Asha Mwilu (Kenya CitizenTV, Kenya) : « Special Assignment: The Riparian Dilemma »
Ian Wafula (BBC, Kenya) : « My photo was used in fake STI outbreak’ in Kenya »
Odinaka Anudu (BDSunday, Nigeria) : « Ongoing projects in South East: Truth vs lies »
Oluwamayowa Tijani (AFP Factuel, Nigeria) : « A minister claimed that Nigeria has ‘more than enough’ doctors. In fact, there’s a huge shortage »
Laura Grant (Section27, South Africa) : « The school toilets Limpopo forgot »
Moussa Ngom (Journaliste indépendant, Sénégal) : « 4,5 millions d’intox sur le célibat des femmes »
- Zoewendebem Elie Kabore (L’économiste du Faso, Burkina Faso) : « Assemblée nationale: non, le budget n’a pas augmenté en 2019 »
Amenan Marina Edwige Kouakou (Le Média Citoyen, Côte d’Ivoire) : « 50 000 personnes déclarées vivant avec le VIH disparues des radars en Côte d’Ivoire ? Chiffre incomplet ! »
Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme
Pour être éligible, le candidat doit avoir fréquenté une école de journalisme en Afrique entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019. L’article soumis doit être une production journalistique vérifiant un ou plusieurs faits, réalisée sous forme de travaux d’école ou publié pour la première fois – entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019 – sur un blog, une publication étudiante ou par un média basé en Afrique. La production peut être soumise sous forme imprimée ou en ligne (y compris sur un blog), diffusée à la radio ou à la télévision. Les articles publiés par Africa Check ne sont pas admissibles au concours.
Les candidats présélectionnés
Souleymane Diassy (CESTI – Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information, Sénégal) : « Santé : Kolda a-t-elle le plus grand ratio de mortalité maternelle au Sénégal ? »
Dieynaba Thiombane (CESTI – Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information, Sénégal) : « Santé : Le taux de prévalence du VIH/Sida est-il passé de 18 à 20% entre 2014 et 2017 chez les homosexuels au Sénégal ? »
Processus d’évaluation
Les candidatures sont évaluées en fonction des quatre critères suivants :
L’importance pour la société au sens large de la déclaration faisant l’objet de vérification
Comment la déclaration a-t-elle été confrontée aux preuves disponibles ?
Dans quelle mesure l’article a présenté les preuves pour et contre la déclaration
L’impact de la publication de l’article sur le débat public.
En 2019, voici les différents prix à remporter :
Fact-check de l’année par un journaliste en activité,
Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme,
Finaliste de l’une des deux catégories ci-dessus.
Les articles soumis doivent avoir été publiés ou diffusés entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019. Ils doivent avoir exposé une déclaration, trompeuse ou erronée sur un sujet important, faite par une personnalité publique ou par une institution en Afrique.
Le gagnant du Prix du meilleur article de fact-checking par un journaliste en activité recevra un prix de 2 000 dollars, tandis que le finaliste se verra attribuer 1 000 dollars. Le lauréat du Prix du meilleur article de fact-checking par un étudiant en journalisme recevra un prix de 1 000 dollars et le second 500 dollars.
Fact-check de l’année par un journaliste en activité
Pour être éligible, l’article doit être une production journalistique vérifiant un ou plusieurs faits et publiée ou diffusée pour la première fois – entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019 – par un média basé en Afrique. La production peut être soumise sous forme imprimée ou en ligne (y compris sur un blog), diffusée à la radio ou à la télévision. Les articles publiés par Africa Check ne sont pas admissibles au concours.
Les candidats présélectionnés
Divine Yawo Edem Srem (Adom TV, Ghana) : « Poverty of the Golden Towns »
Asha Mwilu (Kenya CitizenTV, Kenya) : « Special Assignment: The Riparian Dilemma »
Ian Wafula (BBC, Kenya) : « My photo was used in fake STI outbreak’ in Kenya »
Odinaka Anudu (BDSunday, Nigeria) : « Ongoing projects in South East: Truth vs lies »
Oluwamayowa Tijani (AFP Factuel, Nigeria) : « A minister claimed that Nigeria has ‘more than enough’ doctors. In fact, there’s a huge shortage »
Laura Grant (Section27, South Africa) : « The school toilets Limpopo forgot »
Moussa Ngom (Journaliste indépendant, Sénégal) : « 4,5 millions d’intox sur le célibat des femmes »
- Zoewendebem Elie Kabore (L’économiste du Faso, Burkina Faso) : « Assemblée nationale: non, le budget n’a pas augmenté en 2019 »
Amenan Marina Edwige Kouakou (Le Média Citoyen, Côte d’Ivoire) : « 50 000 personnes déclarées vivant avec le VIH disparues des radars en Côte d’Ivoire ? Chiffre incomplet ! »
Fact-check de l’année par un étudiant en journalisme
Pour être éligible, le candidat doit avoir fréquenté une école de journalisme en Afrique entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019. L’article soumis doit être une production journalistique vérifiant un ou plusieurs faits, réalisée sous forme de travaux d’école ou publié pour la première fois – entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019 – sur un blog, une publication étudiante ou par un média basé en Afrique. La production peut être soumise sous forme imprimée ou en ligne (y compris sur un blog), diffusée à la radio ou à la télévision. Les articles publiés par Africa Check ne sont pas admissibles au concours.
Les candidats présélectionnés
Souleymane Diassy (CESTI – Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information, Sénégal) : « Santé : Kolda a-t-elle le plus grand ratio de mortalité maternelle au Sénégal ? »
Dieynaba Thiombane (CESTI – Centre d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information, Sénégal) : « Santé : Le taux de prévalence du VIH/Sida est-il passé de 18 à 20% entre 2014 et 2017 chez les homosexuels au Sénégal ? »
Processus d’évaluation
Les candidatures sont évaluées en fonction des quatre critères suivants :
L’importance pour la société au sens large de la déclaration faisant l’objet de vérification
Comment la déclaration a-t-elle été confrontée aux preuves disponibles ?
Dans quelle mesure l’article a présenté les preuves pour et contre la déclaration
L’impact de la publication de l’article sur le débat public.