Régis Bamba et Hassan Bourgi ne sont pas totalement étrangers au fait que la Côte d’Ivoire apparaisse désormais sur la carte mondiale des technologies de la finance, les fintechs. En novembre 2022, Djamo, la start-up spécialisée dans la fourniture de services bancaires personnels qu’ils ont créée il y a deux ans bouclait une levée de fonds de 14 millions de dollars (13 millions d’euros). Un record pour une entreprise technologique ivoirienne.
Sur les réseaux sociaux, le premier ministre Patrick Achi s’est empressé de saluer la nouvelle et le « dynamisme formidable » du secteur. En 2022, les fintechs installées à Abidjan ont réussi à lever un montant cumulé record de plus de 20 millions de dollars. Un chiffre qui peut prêter à sourire au regard des centaines de millions de dollars récoltées par les start-up financières égyptiennes et sud-africaines et du quasi-milliard de dollars atteint par les pépites technologiques du Nigeria la même année, mais qui traduit une tendance de fond : l’émergence, aux côtés des établissements classiques, de nouveaux acteurs financiers. (Le Monde)
Sur les réseaux sociaux, le premier ministre Patrick Achi s’est empressé de saluer la nouvelle et le « dynamisme formidable » du secteur. En 2022, les fintechs installées à Abidjan ont réussi à lever un montant cumulé record de plus de 20 millions de dollars. Un chiffre qui peut prêter à sourire au regard des centaines de millions de dollars récoltées par les start-up financières égyptiennes et sud-africaines et du quasi-milliard de dollars atteint par les pépites technologiques du Nigeria la même année, mais qui traduit une tendance de fond : l’émergence, aux côtés des établissements classiques, de nouveaux acteurs financiers. (Le Monde)