(Reuters) Créée il y a un an pour défier Über, l’application kényane de service de chauffeurs, Little, est désormais devenue un réseau de 2.000 chauffeurs offrant en moyenne 10.000 courses par jour.
Un an après sa mise en place, Little occupe aujourd’hui la première place sur le marché local avec près de 5.000 conducteurs qui peuvent offrir 12.000 courses par jour aux heures de pointe.
Une opportunité pour Lilly Muriuki qui a un revenu entre 266 et 400 USD par semaine. Elle fait partie du nombre croissant de conducteurs kényans qui rejoignent la compagnie.
“C’est une entreprise unique ; pour moi, je pense que c’est une entreprise unique, car il y a une option pour que nos clients choisissent le service de base, et il y a une option pour les dames. Donc, la plupart de mes clients sont des femmes et elles choisissent l’option pour les dames, et je préfère qu’elles aient cette option, ce qui fait que j’ai surtout des clientes.” Déclare le chauffeur.
En partenariat avec l’opérateur de télécommunications Safaricom, l’application envisage de chercher un investisseur dans la Silicon Valley l’année prochaine pour l’aider à s‘étendre à travers l’Afrique.
Elle est déjà arrivée au Nigeria où elle prévoit commencer ses services le mois prochain. Elle démarre aussi un service de bus électrique à Nairobi qui permettra aux utilisateurs de réserver leur trajet en utilisant l’application sur leurs téléphones mobiles. Kamal Budhabatti est PDG de Little Cab
‘‘Je pense que le trafic est un gros problème, le trafic et la pollution sont des problèmes dans la ville, alors nous pensons que si nous pouvons contribuer de n’importe quelle manière, à notre petit niveau, à améliorer les choses, c’est pourquoi nous allons prendre un bus électrique, c’est pourquoi nous allons avoir un bon bus que les gens vont aimer. Ce que je veux dire, c’est qu’aujourd’hui les gens ne vont peut-être pas vouloir sauter dans un ‘‘matatu’‘ simplement parce qu’ils peuvent penser que c’est trop bruyant, trop encombré, trop en retard, trop sale.’‘
La société partenaire de Little, le développeur de logiciel basé à Nairobi, Craft Silicon, a investi 6 millions de dollars dans l’application. Little offre également des fonctionnalités supplémentaires pour concurrencer d’autres entreprises, comme un bouton SOS sur l’application.
Si un client se sent en danger pour quelque raison que ce soit pendant son voyage et appuie sur le bouton, il a une escorte de la police ou d’une entreprise de sécurité partenaire dans les cinq minutes, ce qui est populaire auprès de clients tels que Monica Waruguru.
“J’ai fait appel à Little Cab parce que vous pouvez demander à avoir un chauffeur femme, vous pouvez également passer sur le service 0,19 dollars par kilomètre ce que je trouve moins cher. Vous pouvez également utiliser l’onglet SOS qui est la fonction de sécurité, et très efficace selon moi”
Les autres caractéristiques comprennent une connexion Wi-Fi gratuite dans tous les taxis et un porte-monnaie électronique intégré, offert en partenariat avec Safaricom sur la plate-forme de transfert d’argent M-pesa.
Un an après sa mise en place, Little occupe aujourd’hui la première place sur le marché local avec près de 5.000 conducteurs qui peuvent offrir 12.000 courses par jour aux heures de pointe.
Une opportunité pour Lilly Muriuki qui a un revenu entre 266 et 400 USD par semaine. Elle fait partie du nombre croissant de conducteurs kényans qui rejoignent la compagnie.
“C’est une entreprise unique ; pour moi, je pense que c’est une entreprise unique, car il y a une option pour que nos clients choisissent le service de base, et il y a une option pour les dames. Donc, la plupart de mes clients sont des femmes et elles choisissent l’option pour les dames, et je préfère qu’elles aient cette option, ce qui fait que j’ai surtout des clientes.” Déclare le chauffeur.
En partenariat avec l’opérateur de télécommunications Safaricom, l’application envisage de chercher un investisseur dans la Silicon Valley l’année prochaine pour l’aider à s‘étendre à travers l’Afrique.
Elle est déjà arrivée au Nigeria où elle prévoit commencer ses services le mois prochain. Elle démarre aussi un service de bus électrique à Nairobi qui permettra aux utilisateurs de réserver leur trajet en utilisant l’application sur leurs téléphones mobiles. Kamal Budhabatti est PDG de Little Cab
‘‘Je pense que le trafic est un gros problème, le trafic et la pollution sont des problèmes dans la ville, alors nous pensons que si nous pouvons contribuer de n’importe quelle manière, à notre petit niveau, à améliorer les choses, c’est pourquoi nous allons prendre un bus électrique, c’est pourquoi nous allons avoir un bon bus que les gens vont aimer. Ce que je veux dire, c’est qu’aujourd’hui les gens ne vont peut-être pas vouloir sauter dans un ‘‘matatu’‘ simplement parce qu’ils peuvent penser que c’est trop bruyant, trop encombré, trop en retard, trop sale.’‘
La société partenaire de Little, le développeur de logiciel basé à Nairobi, Craft Silicon, a investi 6 millions de dollars dans l’application. Little offre également des fonctionnalités supplémentaires pour concurrencer d’autres entreprises, comme un bouton SOS sur l’application.
Si un client se sent en danger pour quelque raison que ce soit pendant son voyage et appuie sur le bouton, il a une escorte de la police ou d’une entreprise de sécurité partenaire dans les cinq minutes, ce qui est populaire auprès de clients tels que Monica Waruguru.
“J’ai fait appel à Little Cab parce que vous pouvez demander à avoir un chauffeur femme, vous pouvez également passer sur le service 0,19 dollars par kilomètre ce que je trouve moins cher. Vous pouvez également utiliser l’onglet SOS qui est la fonction de sécurité, et très efficace selon moi”
Les autres caractéristiques comprennent une connexion Wi-Fi gratuite dans tous les taxis et un porte-monnaie électronique intégré, offert en partenariat avec Safaricom sur la plate-forme de transfert d’argent M-pesa.